Mon histoire

Suivez les tribulations d'une jeune maman québécoise passionnée de déco, de voyages
et de cuisine qui part à l'aventure avec fille et mari pour s'installer à Paris.








jeudi 7 juillet 2011

La technique de l'autruche...

Vous connaissez la technique de l'autruche?!?! Se mettre la tête dans le sable et faire semblant que tout va bien?!?! Eh bien, c'est ce que je fais présentement...



Nous sommes de retour en France depuis samedi matin. Habituellement, je vous raconte comment s'est déroulé le voyage en avion avec Princesse. Mais cette fois, je vous raconte pas. Ça tellement mal été que j'ai décidé d'opter pour la technique de l'autruche et ne plus y penser. Histoire de ne pas cristalliser les souvenirs dans ma mémoire. Sinon, je ne reprendrai plus l'avion avec Princesse. Jamais.

Mea culpa donc à tous les passagers de ce vol... Un gros merci à mon voisin de siège immédiat qui a été d'une patience et d'une gentillesse incroyable envers Princesse malgré le fait qu'il n'ait pas d'enfant lui-même.

Et une mention toute spéciale pour la jeune dame derrière moi. Oui, vous madame, qui avec pris le peine, en plein milieu d'une crise de ma fille, alors que je faisais tout ce qui était en mon pouvoir pour la calmer le plus rapidement possible, de vous lever pour venir m'engueuler en me criant de faire quelque chose, que c'était insupportable. Merci pour ce bon conseil madame, je n'y aurais jamais pensé sans vous. J'étais beaucoup trop occupée à me faire une manucure en sirotant un petit cocktail. Vos (nombreux) conseils de puériculture m'ont vraiment été d'un précieux secours pour gérer ce moment qui était fort agréable pour moi (!)

Un jour, si vous avez des enfants madame, lorsque votre petit de 2 ans et demi vous fera une crise et que vous serez en train de tout faire pour régler le problème (et vous noterez que je dis QUAND votre petit fera une crise et non SI votre petit fait une crise), si quelqu'un vient vous engueuler de la même façon que vous l'avez fait, eh bien, repensez à moi madame. Le petit sentiment d'impuissance que vous aurez à ce moment ressemblera probablement à celui que j'avais dans l'avion, mais j'ose ajouter que le mien était décuplé par le fait que je savais que je dérangeais un avion au complet... 

Désolée, fallait que ça sorte...

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